Les étudiants du festival « Nous Autres » : portait n°1.

Nous rencontrons Dorine, étudiante en L3 histoire, qui nous raconte la conférence de presse du Festival de mardi dernier 2 mai.

Tout d’abord est ce que tu peux nous dire dans quel atelier tu t’es investie et pourquoi ?
Après la présentation du projet, je me suis dis tout de suite que j’avais envie d’y participer, et plus particulièrement à l’atelier sur les tatouages. Déjà parce que le sujet m’intéressait : aujourd’hui c’est presque banal les tatouages, mais avant ça ne l’était pas du tout, c’était beaucoup plus étrange. Donc l’évolution est intéressante. Et puis au delà de ça, comme l’ont dit mes camarades dans les autres interview, il y a toute cette volonté de rendre l’histoire plus pédagogique, de transmettre des connaissances d’une autre manière et de sortir du cadre traditionnel d’enseignement de l’histoire.

Tu as assisté à la conférence de presse, est ce que tu peux nous en dire un peu plus sur l’évènement ?
Alors c’était en fait une présentation de tout le festival aux journalistes comme ceux de Ouest France et aussi aux partenaires. Il y avait la fac, le Grand T et le château des Ducs, tout ceux qui participent à l’élaboration, au programme… On était dans la yourte du Grand T et chacun présentait la partie du festival qu’il co-construit. Ça a permis d’une part de présenter l’évènement, mais aussi de comprendre la globalité, qui faisait quoi. On a également skypé avec Patrick Boucheron, qui nous a parlé de son livre et du lien avec le festival. Moi j’y étais parce que chaque prof de l’Université concerné par un atelier avait amené un ou deux étudiants pour l’accompagner présenter ce qu’on faisait.

Tu en as pensé quoi du coup ? Tu as remarqué des choses auxquelles tu as envie d’assister pendant le festival ?
Ça nous a vraiment permis d’avoir une vue d’ensemble sur le festival, parce que nous on voit juste un atelier, celui auquel on participe. Finalement c’est chouette de découvrir tout le reste et de s’inscrire dans un projet plus grand que notre simple atelier : ça nous remotive, nous pousse à nous engager vraiment. Après, à part ce qui est en lien avec la fac, j’ai repéré les « flash conférences », où les historiens ont 15 minutes pour nous parler d’un sujet qu’ils choisissent. Et puis les battles de prof aussi, ça je pense que ça va être drôle.

 

Article réalisé par Caroline et Julia, étudiantes à l’université de Nantes.

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