Les étudiants du festival « Nous Autres » : portait n°2.

Nous rencontrons 2 étudiants en L3 histoire, Nicolas et Lucile, ayant participé au premier atelier « Tatouages : le savoir dans la peau »

Est-ce que vous pouvez nous dire deux mots sur ce projet ?

Lucile : Ça va se dérouler dans la cour du château. On est une quinzaine d’étudiants, mobilisés pour l’occasion, répartis en plusieurs groupes. On accueillera les gens dans la cour du château, pour leur expliquer le projet, en quoi consiste l’atelier…

Nicolas : On aidera également les gens à choisir le motif qu’ils se feront tatouer, au choix entre trois différents. On leur explique l’histoire des tatouages notamment. Le but, c’est d’amener une ouverture sur ce sujet à des gens qui ne s’y seraient pas forcément intéressés naturellement. 2 tatoueurs seront présents, pour tatouer 3 motifs au choix. Ce sont des tatouages éphémères bien sûr, qui dureront au maximum une semaine.

Et les tatouages alors ?
Nicolas : 2 tatoueurs seront présents, pour tatouer 3 motifs au choix. Ce sont des tatouages éphémères bien sûr, qui dureront au maximum une semaine.

L’atelier consistait en quoi ?
Lucile : Là on a eu le premier des trois ateliers qui nous forment pour le projet. Mr Lignereux nous a présenté le projet à partir d’une phrase « nous sommes tous sauvages ». Il nous a expliqué le nom du festival, et comment ce projet là en particulier y répond. Et on a rencontré aussi la responsable communication du Grand T, et le monsieur qui a pensé l’endroit où se feront les tatouages, qui a désigné l’espace en question.
Nicolas : On aura trois ateliers au total, pour réfléchir à l’écriture du projet et mettre en forme des affiches qui soutiendront nos explications le jour J. Et on aura aussi une formation de médiateur culturel au château des Ducs de Bretagne.

Est-ce que vous pouvez nous dire pourquoi vous vous êtes engagés dans ce projet ?
Nicolas : Je pense m’orienter vers le métier de médiateur culturel, donc c’était pour moi une belle opportunité ce projet, tant pour commencer à me construire un réseau que pour avoir une expérience significative et intéressante. Et au-delà de ça, je trouve que c’est un beau projet pour Nantes et pour l’accès à la culture des habitants.
Lucile : Moi c’est un peu pareil que Nicolas, la médiation culturelle m’attire aussi. Après, je pense que c’est un projet qui nous permet véritablement de mettre en pratique notre formation d’historien. Et en plus, ça nous fait participer à un projet universitaire, autre que les cours, mais toujours relatif à l’histoire.

Article réalisé par Caroline et Julia, étudiantes à l’université de Nantes.

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