BALISER

Les étudiants de la licence Design Industriel de la Fleuriaye (IUT Carquefou) ont réfléchi à une petite série de balises avec Pierre Malige et Clément Livenais, leurs enseignants, et l’équipe de la résidence.

C’est sur ces balises que nous placarderons nos affiches, que vous viendrez écouter un son ou lire un texte sur les projets d’Art Vivant Art Utile, que nous hisserons nos drapeaux, que vous viendrez simplement vous asseoir et regarder.

Louise

Photographies prises à l’IUT en septembre, pendant une semaine de recherche autour du thème des balises.

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CARTOGRAPHIER

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UNE HEURE POUR FAIRE MENTIR THÉOPHILE GAUTIER, POURQUOI PAS !

« Dès qu’une chose devient utile elle cesse d’être belle » et Art vivant, Art utile alors ? 81 étudiants et personnels se sont rassemblés pour aider à faire de l’art un outil pour mieux vivre sur le campus.

Tous équipés de nos feutres et gommettes, nous sommes partis pour une heure d’atelier cartographique. Nos lacunes en dessin sont exposées au grand jour mais, peu importe, nous sommes tous là pour échanger nos expériences, nos goûts et notre ressenti sur notre campus. Nous sommes portés par le dynamisme et la bonne humeur d’une assemblée venue pour partager et on ne se soucie plus du regard des autres. Des dessins sommaires à ceux les plus stylisés, nous livrons chacun une vision différente de ce même lieu d’étude. Chaque tracé de la route empruntée pour s’y rendre est unique, nous venons tous d’un endroit différent, mais cela ne nous a pas empêchés de nous réunir ici. Les cartes postales choisis pour représenter au mieux notre vision du campus sont rarement les mêmes, miroir d’un vécu propre à chacun. Nous vivons dans le même lieu mais nous ne le vivons pas de la même manière. Il ne reste aux artistes qu’à dégager un moyen pour que la convivialité de ce moment se retrouve dans le résultat de leurs œuvres.

Réunis pour cartographier, pointer les endroits clefs, trouver une idée, s’amuser
et pourquoi pas faire mentir Théophile Gautier.

Roman Grolleau, étudiant en Information et communication à La Roche-sur-Yon

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« OÙ BATTENT LES COEURS DES CAMPUS ? »

INSCRIVEZ-VOUS !

Étudiants, personnels, du 14 au 18 octobre, nous vous invitons à donner votre propre vision de l’Université.
Nous réfléchirons ensemble à 4 cartographies : la carte sensible, la carte mémoire, la carte quotidienne et la carte communication.
Ces échanges mettront en évidence les dynamiques qui traversent l’université et nous permettront de préciser et d’adapter les actions de la résidence Art Vivant, Art Utile.

Louise, Quentin et Youen

Expérimentation d’espace, avec le collectif ETC

Campus Tertre / Du 7 au 24 avril 2014

Rendez-vous du 14 au 24 avril pendant des « petites formes bleues » glissées dans la programmation du festival le FUN pour la restitution de l’expérimentation d’espace et pour la restitution de la résidence Art Vivant, Art Utile.

Le Tertre est un centre névralgique de l’Université de Nantes, c’est le campus le plus peuplé, et c’est le long de sa grande allée qui mène au tram que sont disposés le TU, le pôle étudiant et tout au bout le hall de la fac de Lettres. Ce dernier grand ensemble, fait de verre et de béton, est déjà sujet à bien des discussions puisqu’il fera l’objet d’une réhabilitation prévue pour 2018.

Comment faire battre le coeur du campus et de ce grand hall, aujourd’hui tristement bardé de quelques affiches ? En proposant au collectif Etc d’expérimenter l’espace et son usage sous la forme d’un laboratoire des possibles : occuper les lieux et se souvenir de ce qu’est l’espace public, celui des débats, du faire ensemble et du partage d’idées.

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Installations promenades, avec Pauline Ciocca, Coline Huger, Oriane Poncet, Mathilde Salaün et Louise Hochet (du collectif la Briche Foraine)

Campus La Fleuriaye, Carquefou / Du 10 au 28 Mars 2014 / Restitution 27 mars, 18H, Bureau art vivant art utile (bâtiment administratif sciences)

Îlots en marge de Nantes, La Fleuriaye et son grand hall se trouvent entre le petit centre de Carquefou et son église, l’Erdre, la campagne et la nationale qui mène 3 km plus loin au campus de La Chantrerie. Pourtant, les liens se tissent difficilement entre le campus et le reste, et le grand parking qui se remplit chaque jour de voitures demeure une frontière rarement franchie.

Comment inciter à la mobilité entre les différentes entités qui composent ce territoire ? Comment apporter du souffle dans un circuit quotidien Nantes / voiture / IUT ? En introduisant 5 constructrices et « installatrices » de la Briche Foraine qui inventeront des parcours colorés et inattendus : une promenade à travers champs jusqu’au campus de la Chantrerie, un sentier de randonnées au coeur du campus, une balade à vélo en partant de Tertre, une allée colorée qui mène jusqu’à l’Erdre.

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Signes, avec le Fabricatoire et Formes Vives

Campus de La Roche-sur-Yon / Du 10 au 20 février 2014

Restitution Mercredi 19 février, 18H, sur le campus de la Courtaisière

Et jeudi 20 février, 18H, Bureau art vivant art utile (bâtiment administratif sciences)

Sur le campus de La Roche-sur-Yon, bastion positionné pour les nantais en terre inconnue, on se perd dans une nomenclature de bâtiments aux appellations barbares : CUD, RT, GB, GEA, InfoCom… Pourtant, sur ce campus sans entrée ni signe, les étudiants et les personnels redoublent d’énergie pour faire ensemble.

Comment clarifier les espaces et renforcer l’esprit de corps qui anime cette antenne de l’université ? En invitant les graphistes du Fabricatoire et de Formes Vives pour marquer le campus d’un univers graphique et sémantique fort, fait de mots, d’images, de couleurs, de signes : une signalétique participative, vivante et marquante.

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Scénarios radiophoniques, avec Radio Charrette

Campus Lombarderie / Du 20 janvier au 7 février 2014

Sur le campus des sciences, le vieux figuier et le grand séquoia nous rappellent le riche passé de cet ancien parc d’armateur. Aujourd’hui, ces pelouses désertes et ces longs couloirs cachent de multiples miscrocosmes : de futurs cartographes, les copilotes du robot Curiosity envoyé sur Mars, des serres embuées, un chat qui prend l’ascenseur de la bibliothèque, un couloir où les étudiants jouent en réseaux.

Comment ramener poésie et fantaisie dans ce campus des sciences ? Comment apporter du lien, du contact et de l’échange ? En écoutant et en renseignant : une équipe de jeunes reporters sonores s’infiltrera et proposera une radio éphémère. Reportages, portraits d’universitaires, émissions, collages sonores : nous laissons le soin à la Radio Charrette d’inventer son mode.

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