Partant des souvenirs, des rencontres, des lieux parcourus, les participants revenus d’une expérience universitaire à l’étranger se sont interrogés sur ce qui change / ce qui ne change pas, sur ce qu’apporte / transforme / bouscule une telle expérience, sur ce qui nous est étrange / ce qui nous fait parfois être “étranger”…
Ces questions cherchent des réponses graphiques, plastiques et textuelles. Lors de ce stage, chacun a été invité à tracer une cartographie sensible et subjective de son expérience.